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Ministère du Travail

Le salaire minimum et son effet sur l’incitation au travail des prestataires de l’aide financière de dernier recours

Article de fond

Le salaire minimum et son effet sur l’incitation au travail des prestataires de l’aide financière de dernier recours

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Par  Martin Blais, avec la collaboration de François Roussin, Rabah Arrache, Frédéric Savard et Fritz-Herbert Remarais

Cet article examine l'effet du salaire minimum sur l'incitation au travail des prestataires de l'aide financière de dernier recours. Depuis quelques années, au Québec, l'approche incitative auprès des prestataires de l'aide financière de dernier recours a pris une place majeure dans l'intervention gouvernementale et la hausse du salaire minimum constitue une des composantes de cette approche. Le salaire minimum s'inscrit dans une stratégie globale d'incitation au travail comprenant des mesures fiscales. Les effets du salaire minimum sur l'incitation au travail sont généralement importants, ce qui permet de rendre le travail plus payant, même au salaire minimum, que de demeurer à l'aide sociale. En s'appuyant sur certaines simulations, le présent article compare, selon différentes catégories de ménages, l'aide financière consentie par le programme d'aide sociale et le revenu disponible obtenu en travaillant au taux général du salaire minimum.

Mots de la ministre et du sous-ministre

Synthèse et perspectives(par Normand Pelletier)

Résumés de recherches publiées

Articles de fond
Partie 1 : Mise en contexte

Partie 2 : Pauvreté, inégalités et faibles revenus

Partie 3 : Autres aspects du salaire minimum

Démarche vécue en entreprise

Chronique de veille internationale

Volume 7, n° 1 – Automne 2010
Le salaire minimum au Québec

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